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A “paradigm shift” is needed in how disaster risk assessments are done, according to GFDRR. For too long, disaster risks have been considered according to static measures of vulnerability, creating an incomplete picture of future challenges.

« Le facteur de loin le plus important sur la gravité des inondations sera la montée du niveau des océans », explique Stéphane Hallegatte, économiste spécialiste de la prévention des catastrophes naturelles à la Banque mondiale.